Je ne sais pas pour vous mais chez moi, trouver une activité abordable et qui convient autant à la mini de 2 ans qu’à l’ado de 15 ans c’est, disons-le, très rare! Mais samedi dernier, j’ai embarqué la troupe en auto et nous nous sommes rendus à Laval pour une activité des plus agréables! Après une balade de tracteur qui a plu aux plus jeunes d’entre nous, nous nous sommes retrouvés entourés de grands plants de maïs. Nous y voici, le labyrinthe du Kiosque chez Forget !
Un premier labyrinthe nous réchauffe et, on se l’avoue, c’est l’étape la plus facile. À la fin de celui-ci, une aire de repos nous permet de prendre une petite collation et le choix nous est offert de continuer la deuxième partie du labyrinthe ou de prendre le chemin de la sortie.
S’arrêter ou poursuivre?
D’un commun accord, sans hésiter, nous avons décidé de poursuivre notre aventure. Les enfants s’amusant et ne voulant surtout pas arrêter, nous avons pénétré dans la deuxième section qui est, cette fois, remplie de petits sentiers, de cul-de-sacs et de chemins qui tournent en rond!
Que de plaisir que de voir les filles courir à travers les allées, se retourner et s’exclamer : “Oh non! On est perdues!” et courir encore pour voir si le chemin débouche ailleurs, tout en prenant le temps de chercher les lettres pour la chasse au trésor!
Après plusieurs erreurs, de marche en rond et de rires, nous avons enfin abouti à la sortie où une mini-ferme attendait les enfants, pour leur plus grand bonheur! Pendant ce temps, je me suis rendue au kiosque alimentaire pour acheter de quoi nous concocter un délicieux pique-nique bien mérité.
Quelques conseils…
Enfants et parents épuisés mais heureux, l’activité a plu à tous ! Deux petits conseils : mettre une bonne couche de lotion solaire et apporter une petite collation, pour permettre de couper le parcours en deux, ce qui permet aux plus jeunes de plus apprécier la longue marche!
Le labyrinthe est ouvert jusqu’en octobre! Profitez-en!
Pour lire d’autres articles écrits par Mélissa Arbour, cliquez ici.
Texte révisé par Caroline Robert