Compétences parentales 101

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En 2019, il n’est pas rare de voir un parent se questionner sur ses compétences parentales, sur les décisions qu’il a prises ou qu’il aurait dû prendre, sur sa manière de voir ou de faire les choses, sur… Un jour ou l’autre, on hésite, on se questionne, on affronte finalement nos peurs/nos craintes et, pour le bien de nos enfants, on décide de lâcher prise, d’aller de l’avant, de faire confiance à la vie, et de se faire enfin confiance en tant que parent. Sauf que c’est souvent plus facile à dire qu’à faire. 😉

Le verre est-il à moitié plein ou à moitié vide?

Pour imager mes propos, j’aime bien utiliser la question du verre à moitié plein ou à moitié vide. Cette question, qui peut sembler banale en apparence, résume pourtant très bien le noeud du « problème » auquel sont confrontés de nombreux parents (comme moi).

Alors que l’un se veut optimiste et joyeux, l’autre se veut plutôt pessimiste et sombre. C’est une question de perception et d’interprétation, mais également de tempérament (une manière innée de sentir les choses au plus profond de soi et qui va au-delà des apprentissages du quotidien). Et vous, de quel type êtes-vous?

Douter de ses compétences parentales est normal!

Chaque parent est différent. Il fera toujours son possible pour offrir le meilleur de lui-même à ses enfants, il sera indéfiniment présent dans les bons comme dans les moins bons jours, il aimera d’un amour inconditionnel ses enfants, et ce, malgré quelques imprévus du quotidien.

Penser différemment = mauvaises compétences parentales?

Oh que non! N’oubliez jamais qu’il est normal de penser différemment, d’agir différemment et d’être parfois en désaccord avec un autre parent sur certains aspects. Donc inspirez, expirez, allez vous chercher une petite gâterie – vous le méritez vraiment! – et revenez lire tranquillement la suite de ce super article. 😛

Chaque super parent doute, un jour ou l’autre…

De soi. De lui. D’elle. Des autres. Bref, on s’inquiète tous, un jour ou l’autre, beaucoup (trop) du bien-être de nos enfants. On veut tellement qu’ils s’épanouissent au maximum de leur potentiel, qu’ils se sentent aimés, qu’ils ne soient pas confrontés trop tôt aux « petites et grandes injustices » de la vie, qu’ils…

Mais tôt ou tard, il faudra leur présenter le monde tel qu’il est: avec ses forces, ses faiblesses, ses bons et ses moins bons côtés – avec son vrai visage.

Nous aurions tort de penser qu’ils sont aussi « innocents » qu’on l’était à leur âge. En 2019, les enfants ont accès à de nombreuses technologies/informations, et ce, très tôt (et peut-être même trop tôt) dans leur vie.

Les compétences parentales à l’ère numérique

Il faut dire qu’avec l’arrivée des ordinateurs, du téléphone intelligent et de la tablette, nos enfants ont accès à tout… ou presque, et en temps réel en plus. Ils peuvent donc voir le monde tel qu’il est vraiment, et ce, très tôt dans leur vie.

Face à la technologie, certains parents ne savent pas comment réagir, et c’est normal. En cas de doute ou de besoin, renseignez-vous, posez des questions et, surtout, faites de votre mieux. 🙂

Se questionner est normal. Vouloir le meilleur pour ses enfants et sa famille est normal.
Remettre en question ses compétences l’est tout autant, mais il faut arrêter de s’en faire avec ces peccadilles. Soyez plutôt fier d’être le parent que vous êtes. 😉

Des guides utiles!

Et si jamais vous cherchez encore plus d’information sur le sujet, je vous invite à consulter l’un de ces guides sur la compétence parentale.

P.S. Chaque guide a pour mission d’aider le parent d’aujourd’hui dans son quotidien.

Révision : Mélanie Trudeau

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