Chère Edith, j’aurais aimé te dire tellement de choses. J’ai fait ta rencontre pendant l’un des pires et meilleurs moments de ma vie : mon accouchement. Edith, c’est ton prénom et tu m’as accompagnée avec gentillesse et compassion. Cette présente est pour te montrer ma gratitude. Merci!
Tout d’abord
Je ne suis pas quelqu’un de spirituel, mais là, oui. Tu m’as serré la main et une décharge d’énergie est passée à l’intérieur de celle-ci. C’était déjà plus facile. Tes encouragements et tes caresses n’ont cessé de me faire sentir plus forte. J’aurais aimé te dire que grâce à toi, c’était déjà moins pénible. Tu étais d’une bienveillance rare, j’en ai croisé d’autres durant mon séjour à la maternité et aucune n’avait ce petit « je ne sais quoi ». Tu m’as appuyée dans mes premiers moments de maman et soutenue comme une maman avec son enfant. Ça peut paraître étrange, mais c’est le souvenir que j’en ai.
Ensuite
Quand ça s’est mis à déraper, tu m’as caressé la cuisse en me disant de ne pas m’inquiéter. Aucune froideur, que du cœur, que de la chaleur. Pendant que les médecins s’affolaient et que j’essayais d’éviter la césarienne, tu me suppliais de ne pas lâcher. C’est un peu grâce à toi d’ailleurs, si j’ai réussi. Tu me donnais du courage, tu étais comme une maman lionne. Quand ma fille a finalement été blottie contre moi, tu es devenue douce et enveloppante, me laissant avec ma fille vivre ces beaux moments. Tu as même immortalisé la petite main de ma fille sur mon sein pendant son premier boire. Quelle belle attention! C’est ce qui te caractérise à mes yeux : attentionnée!
Finalement… un gros MERCI Edith!
Le 31 juillet 2017, à l’hôpital Pierre-Legardeur, j’ai été aidée par la meilleure infirmière du monde et j’aimerais que ce message se rende jusqu’à elle. Édith, tu as ce don qui, à mon avis, est essentiel dans ce domaine et que tellement ont perdu à cause de l’épuisement. J’ai accouché pendant les vacances de la construction avec une natalité pleine à craquer, et tu étais toute là, juste pour nous. En tout cas, comme s’il n’avait que nous. Je voulais te dire MERCI !!! Mon plus grand regret fut de ne pas te l’avoir fait savoir ce jour-là. Et bien… voilà, c’est fait.
Partagez pour qu’elle l’entende s’il vous plaît!
Une maman qui se souvient…
(Et bravo à tous les travailleurs et travailleuses du domaine de la santé, parce que sans vous, nous ferions bien pitié. Merci d’être à l’écoute malgré les heures supplémentaires.)
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Révision : Karine Perreault